Le musée Jacquemart André (Paris 8°)
en marge de sa collection permanente avec quelques joyaux,
propose jusqu'au 11 janvier une exposition de peintures et aquarelles de William Turner.
La visite m'a éblouie. Ayant suivi le parcours de l'expo une première fois, aspirée et captivée j'ai ensuite vogué d'une salle à l'autre jusqu'à ce que le nombre de visiteurs augmentant me dérange.
Vues de Venise -que je connaissais pour les avoir maintes fois regardées dans des livres- révèlent la maîtrise et liberté du peintre.
Le jaune de Turner resplendit -couleur si difficile à manier qu'affectionnait également Bonnard, autre peintre qui me touche particulièrement.
Gênée par les vitres et éclairage s'y reflétant, mon reportage s'arrête là. Pour conclure je vous partage cette réflexion d'apparence si simple nécessitant cependant une attention et remise en cause constante :
"Mon travail consiste à peindre ce que je vois, non ce que je sais être là". J.W.M Turner
2 commentaires:
Je me souviens d'un beau livre sur Turner dans la bibliothèque de l'usine disparue.
Ca m'avait complètement bluffé ses vues de Venise.
Très poétiques. C'était déjà des impressions, le partage avec fidélité des émotions au delà de d'une représentation à la géométrie fidèle.
Dans cette bibliothèque qui brillait de mille feux créatifs, le livre je l'avais amené 😉
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