je deviens... ou zazou (cliquez ICI) ou plutôt Zazie fuyant les couloirs du métro kipudonktan espérant retrouver un Paris animé ? (cliquez ICI)
C'est quand qu'on va où ? Une solution parmi d'autres ? Cliquez ICI.
C'est tout pour aujourd'hui !
artiste peintre
... formule qui a disparu des radars et des écrans, on dirait. Et pourtant il y a interrogation.
Depuis ma table de travail, je visite plutôt le temps d'avant en lui donnant une seconde chance. Voici un nouveau "Pimpon", c'est le nom qui s'est imposé à cette série. J'ignore pourquoi. Un coup de klaxon pour se réveiller ? Son/image improbable ?
Et si c'était davantage le temps de Janus, ce dieu à deux têtes, l'une tournée vers le passé, l'autre vers le futur ? Dieu illustrant les commencements et les fins.
Ainsi serait-il... (Cliquez ICI)
Balloté entre des espaces rétrécis, suspendu au milieu d'incertitudes, le corps est privé d'espace, celui qu'il appréhendait il y a un an en toute liberté.
Sans projet d'expo je déserte l'atelier et suis arrimée à ma tablette. Je m'inspire de très anciens dessins pour jeter une passerelle entre hier et aujourd'hui. Je trouve ainsi la parade à à un espace/temps bousculé.
Et soudain, je songe à Ernest Pignon Ernest, peintre que j'admire, à son travail interrogeant l'histoire et se révélant dans des lieux choisis. (Pour l'écouter, cliquez ICI)
Lors d'une expo ou sur ce blog, je vous montre l'œuvre achevée. Vous découvrez le résultat, le mot "fin" que j'ai choisi et ignorez le processus qui a enclenché diverses décisions.
Grâce à l'enregistrement automatique sur ma tablette des dessins numériques, je peux vous présenter les différentes étapes. Ainsi la "Señorita" révélée dans mon précédent article, eut quelques aïeules que voici :
Cette fois, traversons les Pyrénées avec le portrait imaginé d'une "señorita" :
Souvent le flamenco me semble trop dramatique même si je salue la performance. Dans cet extrait, c'est la grâce alliée à l'énergie de cette toute jeune demoiselle qui m'impressionne (cliquez ICI)