Paris, 1968
c'est ce que retrace et décrypte Mariane Otero dans son dernier film documentaire.(Pour un aperçu, cliquez sur : teaser)
Il capta d'autres regards, que ce soit en pleine émeute (comme la fameuse image de Cohn Bendit et du policier) ou bien auprès d'artistes en vogue.

Tout le long du film, je fus très émue par la tendresse, précision et sobriété de ses clichés.
Ainsi, je recommande chaudement le dernier ouvrage d'un ami et grand photographe, Alain Keler : Journal d'un photographe.
Quelques mots de sa part vous pouvez écouter en cliquant ICI.
1 commentaire:
Sais pas si le commentaire écrit il y a 5mn a pu passer. L'ordi et moi étant un poil en conflit en ce moment, il me fait des caprices.
Je saluais juste l'immense talent de Gilles Caron, dont les images ont porté mes émotions d'ado en révolte.
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