dimanche 5 août 2018

qué calor !

Les synapses se distendent, les idées deviennent molles comme les montres de Dali, les pas s'alanguissent suivant un slow lancinant imaginaire, la création suit l'humeur du ciel.
Un carnet pour défier l'envie d'être un koala accroché à son arbre. Je choisis d'y décrypter les intentions et détours d'un processus créatif.

Début d'un nouvel exercice improvisé. 

1 commentaire:

Pistozim a dit…

Rien ne vaut quelques crayons ou pinceaux de couleurs pour remettre l'entropie du système à un niveau compatible avec une agitation biologique profitable!