De passage chez une amie, j'ai retrouvé d'anciennes œuvres.
Ravie de les revoir et toujours surprise de les avoir conçues, comme s'il s'agissait du travail d'un autre auteur.
A cette époque, j'omettais de dater.
Fin des années 80 et 90, dans mon studio (totalement dédié à la peinture excepté le lit et sa malle attenante), je composais en collant papiers de couleurs et dessins choisis.
Sur planches de bois récupérées :
Les chansons d'Higelin m'enthousiasmaient, me donnaient élan et inspiration.
J'envoyai la photo de cette peinture à Jacquot (ainsi nommé lors de ses concerts). Je le croise peu de temps après, à la Villette au cours d'une soirée en plein air consacrée aux percussions. Il m'apprend que justement, il vient de retomber sur cette image et m'avoue rien y comprendre.
J'aurais pu répondre qu'il avait vu juste ! Toute peinture étant pour moi, un ressenti, une évocation et un mystère.
mardi 14 août 2018
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1 commentaire:
Dans la bouche d'un chantre de la douce folie échappant à tout contrôle de la pensée, quel compliment!!!
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