Balloté entre des espaces rétrécis, suspendu au milieu d'incertitudes, le corps est privé d'espace, celui qu'il appréhendait il y a un an en toute liberté.
Sans projet d'expo je déserte l'atelier et suis arrimée à ma tablette. Je m'inspire de très anciens dessins pour jeter une passerelle entre hier et aujourd'hui. Je trouve ainsi la parade à à un espace/temps bousculé.
Pimpon, dessin numérique, 30 x 40 cm, 2021
Et soudain, je songe à Ernest Pignon Ernest, peintre que j'admire, à son travail interrogeant l'histoire et se révélant dans des lieux choisis. (Pour l'écouter, cliquez ICI)
1 commentaire:
Drôle d'acrobate ce Pimpon..
Ca me fait penser que bien peu de personnes ont pensé à faire du street art sur les masques.
Ca s'y prêtait si bien (j'adore mon masque de Amnesty International "Protégeons les droits humains")
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