jeudi 11 juillet 2019

nouvelle série

Après une expo, il y a souvent un moment de latence et de récupération. Cette fois, sursaut de créativité, j'ai entamé aussitôt une nouvelle série à partir d'anciens dessins (fin des années 80) que j'ai copiés, réduits, agrandis, assemblés et mis en couleur. Un bidouillage qui me ravit pour le jeu de la répétition et des déclinaisons infinies.



C'est ainsi, dans le même esprit que j'ai sérigraphié. On a pu le découvrir à ma dernière expo. A partir de plusieurs motifs, j'ai créé finalement des pièces uniques en agençant de manière différente chaque élément. Ce qui a nécessité de très nombreux passages. Dans une telle pratique de reproduction, habituellement, "ça n'existe pas, ça n'existe pas. Et pourquoi pas ?"

1 commentaire:

Pistozim a dit…

Au début du siècle dernier, les mesures de la vitesse de la lumière par les savants donnaient un résultat incroyable.. Incroyable parce que ça montrait que le temps ne s'écoulait de manière différente en fonction des circonstances. Ça dépendait de l'observateur.
Alors les savants ont inventé un tas de trucs bizarres pour mettre en concordance les résultats de leurs travaux avec ce qui était acceptable.
Et il y a eu un fonctionnaire d'un bureau des brevets d'une ville suisse qu'à dit "Pourquoi pas".
Il s'appelait Albert Einstein, c'était un génie.