mercredi 2 mai 2018

chapitre normand

Sur la joliment nommée "côte fleurie", j'aime y retrouver les embruns, marcher de jour comme de nuit.

J'y ai côtoyé la tempête, ravie de toutes les teintes que peuvent prendre les flots.

De retour à l'atelier, j'ai commencé une nouvelle toile, premier volet d'un triptyque prévu.

1 commentaire:

Pistozim a dit…

L'air marin te va bien. Un drôle de grain de sel à ta palette.