ce qui nous sépare, nous relie, connections, intersections, vide chargé d'émotions,... l'art nous le révèle.
![](http://2.bp.blogspot.com/_99NMVS9tjyo/S8rHiJmVt7I/AAAAAAAABO4/zoqemgQxEh8/s200/forsythe+1.jpg)
![](http://1.bp.blogspot.com/_99NMVS9tjyo/S8rHU1tNuuI/AAAAAAAABOw/sgDP6kjQn5Y/s320/forsythe+i+don%27t+believe.jpg)
Ainsi, William Forsythe et sa dernière chorégraphie : "I don't believe in outer space" (vue à Chaillot) : danseurs virtuoses -de véritables guimauves toniques !- qui s'interpellent, se croisent, s'évitent. Méli mélo savant de trajectoires différentes. Bonheur fragile, légèreté fluide, j'étais joyeusement déstabilisée.
Autre génération, autre médium : Lucian Freud à Beaubourg
"L'effet que produisent dans l'espace deux individus distincts peut être aussi différent que l'effet d'une bougie de celui d'une ampoule électrique", déclare-t-il.
La peinture à l'oeuvre, en marche, sans fioritures, ni discours, tranchante.
J'y retournerai.
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