mardi 2 février 2010

Imagine

de l'autre côté du miroir...
(quai de Loire, paris 19)

"you may say I'm a dreamer but I'm not the only one".

Je ne peux oublier "the limits of control". Je suis sortie du film ébouie, avec un autre regard sur Paris.
Jim Jarmush ou l'imagination créatrice. Un rythme décalé, des images inédites, l'Espagne filmée sans exotisme ni esthétisme. La solitude d'Isaach de Bankolé, ses rencontres surprenantes, la boîte d'allumettes comme un fil conducteur,... Une oeuvre ouverte où le spectateur trouve place.

Autre parcours et film :
le documentaire de Maguelone Besançon, "aller simple pour Cayenne" ou le désir fou d'un homme, Jean-Luc Torre, devenu réel : celui de rejoindre seul, en ramant, Saint-Louis (Sénégal) à Cayenne (Guyane). La construction du bateau. La musique d'Oozy (Clément que je connais) et Doudou (Romain). L'aventure sur :

1 commentaire:

Pistozi-maje a dit…

Artifice de paillettes psychédéliques qui transforme l'image parisienne en un Manhattan improbable vu par un voyageur de retour de la planète Mars, une stratocaster sur l'épaule et le walkman branché sur Astronomy Domine du Floyd.
Can you hear me, Major Tom??